Qui suis-je ?
Un psychologue traite aussi bien les troubles que les différents types de problèmes psychologiques. La timidité ou encore la peur du noir peuvent lui être soumises.
La psychothérapie pour lutter contre la timidité
La thérapie cognitive est l’un des moyens utilisés pour modifier certains comportements contraignants tels que la timidité. Toutes sortes de thérapies comme la relaxation, l’apprentissage de la communication ou encore la modification des pensées comptent parmi les solutions thérapeutiques efficaces contre la timidité. Les concernés peuvent réaliser les thérapies eux-mêmes, sans l’assistance d’un psychologue. Les thérapies de groupe peuvent elles aussi s’avérer efficaces pour venir à bout de la timidité. Rien de mieux qu’un groupe pour s’encourager mutuellement, faire attention aux autres, découvrir les regards extérieurs. En outre, des thérapies comme les visualisations, la psycho généalogie, l’hypnose ou l’autohypnose sont aussi autant de thérapies pour vaincre la timidité.
La psychothérapie pour vaincre le noir
La peur du noir est un comportement très fréquent. Il peut cacher d’autres sentiments comme la peur des fantômes, la peur de rencontrer un individu malintentionné, la peur d’être aveugle ou bien la peur qui s’installe suite à la lecture d’un livre d’horreur par exemple. Découvrir les raisons de la peur est la meilleure manière de trouver la meilleure solution. Après les avoir identifiés, le patient peut ensuite réfléchir sur le bien-fondé de leur peur.
Lors d’une consultation, le psychologue essaye de vous apprivoiser petit à petit à l’obscurité. La thérapie s’apparente à l’apprentissage de la nage. Il est essentiel d’habituer peu à peu la personne à son nouvel environnement. Dans une pièce sombre, le patient doit s’installer dans un endroit relaxant et se concentrer sur sa respiration et constater que rien de mal ne survient. De manière progressive, la pénombre est augmentée jusqu’à plonger la personne dans l’obscurité totale. Cette opération est renouvelée durant plusieurs jours ou des mois, en fonction de l’évolution et de la maîtrise du patient.